27 août 2021 – Évitons l’effondrement qui se prépare – Rassemblement samedi 28 août à 14h00 à Oraison

Vaccinés, non vaccinés, professionnels, citoyens : Tous ensemble pour la défense de l’hôpital, pour la défense de l’accès aux soins, pour la défense de nos droits et libertés !

Nous sommes face à un pouvoir irresponsable qui fait peser sur nos têtes un risque d’effondrement du système de santé.
C’est la responsabilité du gouvernement de permettre l’accès aux soins pour tous !
Là, ils sont sur la démarche inverse avec un passe sanitaire limitant l’accès aux soins et fragilisant fortement l’ensemble du système !

On n’a jamais autant manqué de personnels, et on l’a vu cet été !
De nombreux services d’urgences ont fermé la nuit cet été par manque de personnels.
Et là, la majorité présidentielle va fortement aggraver ce problème avec un effet « domino » s’ils campent sur leur position.
C’est gravissime ce qu’ils font !
De nombreuses directions d’établissements se préparent à des fermetures massives de services dans la région, à tel point qu’ils sont en train de préparer des scénarios catastrophes avec une entraide régionale et des transferts de patients à partir du 15 septembre.
Il faut les faire revenir à la raison, ils jouent avec la vie des gens !
Aucun patient ne doit être privé de l’accès aux soins !
Il faut qu’ils stoppent leur passe sanitaire et toutes les mesures liberticides !

Ensuite, le second problème, mais qui est directement lié au risque d’effondrement du système, c’est l’augmentation des pressions pour faire craquer les personnels. C’est totalement inacceptable ! Les mesures autoritaires du gouvernement sont la goutte d’eau qui fait déborder le vase.
Il faut convaincre et non contraindre ! Ils ont au contraire fait le choix du « pistolet sur la tempe ». Castex est encore intervenu pour menacer les personnels.
Non au système répressif et autoritaire qui se met en place dans tous nos établissements !
Il faut stopper également le manque voire l’absence de démocratie sur la prise de décision et sur la mise en œuvre !
On ne peut pas se permettre de perdre un seul personnel actuellement au regard de l’activité importante et de l’état d’extrême tension de notre secteur.
Dans un pays où il y a plusieurs millions de chômeurs, il est intolérable d’interdire à des personnes de travailler !
Aucun collègue ne doit être suspendu !
Aucun collègue ne doit être privé de son salaire !

Avec leur politique, il n’y a que des perdants :
– Les personnels qui vont démissionner ou qui pourraient être suspendus
– Les personnels qui vont rester et qui vont voir leurs conditions de travail fortement se dégrader
– Les patients à qui on interdit l’accès à l’hôpital au travers du passe sanitaire et ceux qui vont subir des fermetures de services.

Foutez la paix aux personnels et laissez-les travailler !
Donnez des moyens à nos services de fonctionner avec des effectifs en nombre suffisant !
Renforcez les moyens pour les services de santé au travail !
Rouvrez des lits et notamment des lits de réanimation !
Permettez à celles et ceux qui sont malades d’être soignés !

Continuons à nous mobiliser !

>> Ci-joint l’affiche appelant à se mobiliser le samedi 28 août à 14h00 à Oraison :
1374. Affiche pour le 28 août 2021

26 août 2021 – Attention à la désinformation de certains employeurs !

1373. Soignant soigne et tais toi

Bonsoir,
La situation se tend dangereusement dans le secteur sanitaire et médico social.
Certain-es salarié-es veulent démissionner ou se mettre en dispo. D’autres nous disent qu’ils sont à bout et qui vont se mettre en maladie.
Le malaise est bien plus profond que la seule question vaccinale.

Cela fait 18 mois que les personnels sont soumis à une pression intense due à la crise sanitaire, de nombreux sont au bord de l’épuisement professionnel.
Les tensions supplémentaires induites par la « stratégie vaccinale » adoptée par le gouvernement sont la goutte d’eau qui vont faire déborder le vase !
Pour éviter de se priver de personnels qui ne seraient pas encore vaccinés au 15 septembre, la plupart, des directions d’établissements publics ou privés, accentuent les pressions de tous types pour répondre aux injonctions de la loi.
Ces derniers jours, des agents en arrêt maladie nous ont fait part qu’ils étaient contactés par téléphone par leur cadre, par leur DRH ou même un centre de vaccination pour les inciter fortement à se faire vacciner.

Depuis le début de la semaine, cela va plus loin, puisque certaines directions expliquent que les agents en arrêt maladie et non vaccinés au 15 septembre auront une suspension des indemnités maladie.
Bienvenue dans la société de contrôle et de la désinformation !!!
Une direction ne peut pas faire n’importe quoi, en tous cas, pour le moment. Une rémunération ne peut pas être suspendu quand tu es en arrêt maladie. Si des directions vont au bout de leur menace, il faut récupérer la décision administrative de suspension de rémunération et saisir le tribunal au travers d’un référé suspension ou d’un référé provision.

Donc, quand une direction émet une injonction, il faut qu’elle dise sur quels fondements juridiques elle se base. Si non, il faut lui demander.
L’administration doit impérativement motiver son injonction au regard d’une référence légale et/ou réglementaire conformément aux articles L211-2 et suivants du Code des relations entre le public et l’administration applicables aux agents et aux syndicats de la FPH.

Conformément à l’article L. 211-5 du même code, la motivation doit être écrite et comporter l’énoncé des considérations de droit et de fait qui constituent le fondement de la décision.

Si les justificatifs de l’obligation vaccinale n’ont pu être remis avant le 15 septembre du fait d’un arrêt maladie, le justificatif devra être remis à la reprise de poste.
Les Directions sont inquiètes.

Elles savent que toutes ces mesures sont contre-productives pour le fonctionnement des établissements. Il n’y a aucun plan B pour remplacer les personnels qui pourraient être suspendus ou en congés dès le 15 septembre. Il n’y a pas de candidatures d’avance dans les tiroirs des DRH, les boîtes d’intérim manquent également de personnels (puisqu’une partie n’est pas vaccinée).

On est au bord de l’effondrement, les directions le savent, certaines perdent leur sang-froid. La majorité présidentielle a joué la carte de la contrainte plutôt que celle de la pédagogie. Ils ont joué la carte du « pistolet sur la tempe ». Mais, c’est un jeu très dangereux !

Nous ne pouvons que conseiller à tous les agents de garder un maximum de traces écrites de toutes menaces ou injonctions (mail, SMS, notes de services…) et de prendre contact avec le syndicat.

Autres désinformations distillées par les Directions : le droit de grève et le droit de retrait seraient suspendus en cas de plan blanc. Là encore c’est faux.
Pour le droit de retrait, il faut par contre voir s’il est justifié ou pas car c’est très difficile de le mettre en œuvre dans notre secteur d’activité puisqu’il ne faut n’y mettre en danger ses collègues de travail ni les patients.
Pour assurer le contrôle des passe à l’entrée des établissements on voit indifféremment des agents de sécurité de service privé, des ASH (alors qu’il en manque dans les services), des agents administratifs.
Il n’y a plus de métiers ! Plus de respect des compétences ! Plus de conscience des risques que cela peut provoquer !

Et ça va loin ! On confie parfois à ces agents le soin « d’identifier, d’analyser des situations d’urgence et définir les actions à mettre en œuvre ».
Il est vrai que la mise en place du passe sanitaire pour les usagers d’établissements sanitaire pose la question de l’entrave aux soins soulevés par le conseil constitutionnel qui a manqué de courage sur ce coup là.

Seul un médecin est habilité à définir si un soin peut être annulé ou reporté.
Concernant le secret médical là aussi nous devons faire preuve de vigilance.
Un cadre de santé ou une direction ne sont pas habilités à demander des informations médicales aux personnels. Et pourtant ça arrive souvent en ce moment !
(Références : Article 226-13 du code pénal / Article R4127-4 du code de la santé publique / Décision 2021-917 QPC du Conseil Constitutionnel du 11 juin 2021)

Les seules personnes habilitées à nous demander des informations sur notre état de santé sont les médecins généralistes, les spécialistes et les médecins du travail.
La crise sanitaire bouscule beaucoup de choses mais les fondements du secret médical n’ont pas et ne doivent pas être modifiés.

De même, il n’est pas autorisé de mettre en place des fichiers d’agents vaccinés ou non vaccinés.
La loi les oblige simplement à contrôler qu’on vienne travailler avec un test jusqu’au 14 septembre minuit, et une première dose à partir du 15 septembre.
Pour autant, de nombreux établissements passent outre et développent des fichiers, demandent aux encadrements de relever l’état des agents, laissent la médecine préventive en dehors du processus.

Pour respecter les injonctions de la loi, le secret médical et la protection des données, il suffit d’utiliser la voie normale : c’est la médecine du travail qui doit contrôler l’aptitude médicale d’un agent et informer la direction de l’aptitude ou non sans préciser les motifs qui seront consignés dans son dossier individuel.
Par ailleurs, les Directions occultent complètement les situations d’agents pouvant travailler avec un certificat médical de contre-indications à la vaccination ou un certificat de rétablissement de la maladie pour les agents qui ont déjà eu le Covid (dans ce cas, on n’est pas soumis à l’obligation). C’est le médecin traitant qui peut le faire.

Nous sommes dans une période où ceux qui nous gouvernent tentent de supprimer nos droits un à un dans le monde du travail et en dehors. Sans droits c’est la loi de la jungle.

Surfer sur les incertitudes et les peurs, opposer une population à une autre, privilégier la répression à la prévention, ne peuvent pas être une bonne façon de gérer une société, de gérer un établissement.
C’est par contre un bon moyen pour éviter le débat de fond à avoir : quels sont les moyens à mettre en œuvre à court, moyen et long terme pour faire face à la pandémie COVID et à tous les enjeux en matière de santé publique ?
Alors le combat qui est mené aujourd’hui en réaction à la mise en œuvre du passe sanitaire et de l’obligation vaccinale porte cette question des droits et du respect des droits.

Oui nous sommes attachés au secret médical.
Oui nous sommes attachés à la protection des données.
Oui nous sommes attachés à ce que l’état de santé de quelqu’un ne soit pas un élément discriminant vis-à-vis de l’accès aux soins ou au travail.
Oui nous sommes attachés et convaincus de l’efficacité d’une démarche de prévention (convaincre et non contraindre) pour peu qu’il y ait les moyens de la déployer.

L’autoritarisme sanitaire actuel est un moyen de diversion pour cacher les véritables questions que le gouvernement ne veut pas aborder.
En PACA, seulement 460 lits de réanimations en temps « normal » pour 5 millions d’habitants, des services d’urgence au bord de l’effondrement chaque été, des fermetures de service par une pénurie de personnels, des burns out, des défauts de soins…

Arrêtez les menaces !
Respectez les droits !
Embauchez et formez le personnel dont on a besoin !
Ouvrez les lits et les structures dont la population a besoin !
Développez une stratégie internationale de lutte contre le COVID !
Voilà, quelques informations et réactions, suite à des questions que nous avons eu ces deux derniers jours.

Bon courage à toutes et à tous,
On lâche rien !

18 août 2021 – La colère grandit – Rassemblement samedi 21 août à 14h00 à Château-Arnoux

Le constat actuel est sans appel : aujourd’hui plus personne ne nous protège !
Les recommandations de la CNIL et du défenseur des droits ont été jetées à la poubelle. L’avis du conseil constitutionnel est un torchon.
Et on a la loi du 5 août 2021 qui est un véritable oxymore.
Cette loi contredit des dispositions légales du code du travail, contredit des dispositions de la Loi de 1983 sur les droits et obligations des fonctionnaires et contredit ce qui est dit dans le code de la santé publique sur le libre choix, le consentement et les vaccins obligatoires des soignants. Sans oublier les discriminations au regard de l’état de santé !
Mais comment vont se comporter les juridictions pour interpréter cela ? On n’en sait rien !
On ne pensait pas que le Conseil Constitutionnel allait valider le fait qu’il fallait être en bonne santé pour entrer à l’hôpital. Et pourtant, il l’a fait !
Il y a quand même déjà des failles dans ce texte qu’il faut exploiter. De nombreux avocats y travaillent.
Par exemple, il faut interpeller le chef de service dans lequel le patient veut se rendre, et s’il n’est pas là, interpeller le cadre de santé du service pour demander d’être exonéré du passe sanitaire à partir du moment où le fait de ne pas accéder à ton RDV pourrait avoir des conséquences sur ton état de santé. C’est une info qui ne circule pas assez et c’est à faire connaître.

Ensuite, les dérogations au passe sanitaire ne concernent que les centres qui accueillent des enfants. Tu as ta mère en EHPAD qui est en train de mourir à l’hôpital, tu ne peux pas aller la voir. Ou ton conjoint est en phase terminale d’un cancer, tu n’as pas le droit d’aller le voir. Bienvenue en France en 2021 ! C’est surréaliste !

Le conseil constitutionnel a décidé de placer la crise sanitaire au dessus de toutes nos libertés fondamentales (liberté de circuler, de travailler, de se réunir, syndicale etc…). C’est un choix politique !
Et on en arrive à des situations folles où on ne peut plus voir son conjoint en train de mourir sous prétexte qu’il serait dangereux alors que c’est sa femme qui meurt. Des femmes enceintes nous disaient récemment qu’on leur a refusé l’accès à la consultation médicale relatif au suivi de leur grossesse, et deux d’entre elles envisagent même d’accoucher à la maison.
Au niveau juridique, il faut tenter tous les recours possibles même si ça va être compliqué. La justice est déboussolée par cette situation totalement folle, les avocats ont perdu leurs repères habituels, et il est extrêmement difficile de faire des prédictions. Ce gouvernement déboussole même ses relais sur le terrain puisque nous avons rencontré l’ARS et la Préfecture ces derniers jours, on les a senti paumés !

Dans cette période trouble et arbitraire, on voit se développer partout des gestions à la carte avec de l’arbitraire à tous les niveaux. Par exemple, on voit des directions d’établissements appliquées à la lettre la loi du 5 août… on voit des directions aller au delà de la loi en faisant du zèle et en étant plus dure que ce prévoit la loi… et on voit des directions ne pas l’appliquer (pour différentes raisons, quelques unes par conviction, et d’autres par peur de manquer de personnels).

Dans de nombreux établissements nous voyons des agents de sécurité non vaccinés qui contrôlent les gens pour savoir s’ils sont vaccinés ou pas. Chercher l’erreur ! Hier un agent de sécurité de mon établissement disait à une soignante syndiquée qu’il a peur de se faire vacciner alors qu’il est là pour contrôler. Une soignante des Urgences me disait aujourd’hui : « ça fait des années qu’on demande un agent de sécurité aux Urgences, ils nous disent que ce n’est pas possible, qu’il n’y a pas d’argent, et là ils mettent des agents de sécurité partout, on se fout de nous ! »

Ces derniers jours le Préfet de Guadeloupe faisait une conférence de presse avec la directrice de l’ARS. Juste avant la conférence de presse, les micros étaient ouverts, et la scène était filmée. Ils préparaient leur intervention à la manière d’un sketch, en disant nous allons prendre un ton catastrophique, dramatique, il faut vraiment que les gens aient peur… Ils prennent vraiment les gens pour des pantins manipulables ! Ces gens là sont censés être là pour nous protéger ! Quand les populations ne peuvent plus faire confiance aux autorités, on fait comment ? C’est là que ça peut partir dans tous les sens, y compris dans les thèses les plus farfelues.
C’est usant cette pensée unique au travers d’une propagande ultra clivante, culpabilisante et déstabilisante !

En ce moment, ils mettent en œuvre des « Plans Blancs » dans les hôpitaux alors que la situation ne le nécessite pas. On a l’impression qu’il s’agit surtout d’empêcher tout mouvement de grève et de contestation. Tout est bon pour nous privés de nos libertés fondamentales. Le droit de grève dans les hôpitaux est extrêmement entravé, et pourtant cela ne leur convient encore pas, puisque le ministre de la santé a expliqué ces derniers jours : « qu’il y aura un temps où les personnels n’auront plus le droit de faire grève ». Quel mépris !
Viendra un temps où ces gens là n’auront plus le loisir de nous traiter comme du bétail !

En parlant d’obligation, n’oublions pas que les infirmières ont obligation d’adhérer à l’Ordre National Infirmier depuis plusieurs années sans quoi elle ne peuvent pas exercer. A ce jour, la majorité des infirmières que je connais ont toujours refusé d’adhérer à l’Ordre infirmier, et elle continue quand même d’exercer. C’est une question de rapport de force et d’incohérence (ou pas) d’une obligation. Il faut aussi l’avoir à l’esprit dans cette période d’obligation à marche forcée.

Sur Manosque, la moitié des personnels ne sont pas vaccinés. Une partie importante des médecins ne l’est pas également contrairement à ce qui est véhiculé par certains cadres. C’est leur choix ! Des tensions commencent à monter en interne dans les réunions de crise !

Enfin, à côté de la riposte juridique, il nous faut également faire grandir la mobilisation. C’est pourquoi, il faut continuer à se mobiliser partout, en prenant en compte chaque réalité territoriale. Dans chaque département, la situation est différente, les forces en présence sont différentes, et forcément notre stratégie doit aussi tenir compte du contexte local.

Il faudrait appeler à une grande mobilisation nationale le 14 septembre et à pousser les agents à se mettre en grève partout !
Il faut élargir fortement sur la question des moyens dans notre secteur d’activité. C’est un sujet sur lequel on a gagné la bataille des idées. Il faut continuer à appuyer dessus. A l’urgence sanitaire, il ne faut pas une réponse sécuritaire, il y a besoin d’une réponse en termes de moyens et de financement !

Il faut continuer à faire pression sur les Députés et à maintenir partout la pression !
De nombreux Députés ont voté cette loi, il faut le faire connaître. D’autres n’étaient pas là, ils avaient piscine, il faut le faire connaître également ! D’autres ont voté des économies massives dans les hôpitaux fin 2020, que vont-ils faire fin 2021 ? Il faut des engagements de leur part !

Les routiers parlent de rentrer dans la mobilisation, c’est une bonne chose, car ils ont la possibilité de mettre en place un rapport de force rapide et puissant.

Mardi 24 août, nous avons une grande réunion régionale avec tous les principaux syndicats CGT Santé et Action Sociale PACA. Il sera question d’affiner notre stratégie revendicative en termes de luttes mais également de riposte juridique à apporter. Jeudi 26 août, nous participerons à la réunion nationale sur la stratégie des luttes afin de se coordonner et d’améliorer l’efficacité de nos actions.

Dans l’immédiat, soyons nombreuses et nombreux samedi 21 août à Château-Arnoux devant le monument pacifiste !
On lâche rien !

>> Ci-joint le tract appelant à se mobiliser samedi 21 août à Château-Arnoux :
1372. Tract USD CGT Santé 04 passe sanitaire 21 août 2021

>> Ci-joint l’affiche du collectif départemental pour la marche des libertés :
1372. Affiche pour le 21 août 2021

>> Ci-joint l’article de La Provence du 8 août : CLIQUER ICI

>> Ci-joint l’article de La Provence du 15 août :
1372. La Provence du 15 août partie 1

1372. La Provence du 15 août partie 2

> Pour voir la vidéo de BFM DICI, cliquer sur ce lien : CLIQUER ICI

>> Pour voir l’article de Haute Provence Info, cliquer sur ce lien : CLIQUER ICI

>> Pour voir l’article de Radio Alpes 1, cliquer sur ce lien :
CLIQUER ICI

4 août 2021 – Rassemblement samedi 7 août et préavis départemental déposé ce jour

Le combat continue et prend différentes formes. De nombreuses organisations, dont la nôtre, avancent sur le terrain juridique en attaquant ce texte liberticide sur de nombreux aspects.

Et puis nous avançons également sur le terrain de la mobilisation.
Comme de nombreux combats que nous avons menés, celui là se jouera sur la durée, au mental, en restant unis, et en ayant bien conscience que ce ne sont pas les plus rapides ou les plus forts qui gagnent mais ce sont celles et ceux qui n’abandonnent jamais. C’est ce que nous avons pu tous démontrer dans certaines luttes menées comme celle pour la réouverture des urgences de Sisteron.

>> C’est pourquoi, il nous faut monter en pression progressivement. Ainsi, nous avons déposé ce matin un préavis de grève départemental (voir ci-dessous) :
1371. Préavis de grève départemental USD CGT 04

>> Et appelons à se mobiliser à nouveau samedi :
Rassemblement samedi 7 août à 14h00 à Manosque, place de la Mairie (voir le tract également ci-dessous) :
1371. Tract pour le 7 août 2021

>> Pour voir le document complet : CLIQUER ICI

>> Pour voir l’intervention réalisée samedi dernier à Sisteron : CLIQUER ICI

>> Pour voir l’article du Journal « La Provence » de dimanche :
1371. Article La Provence partie 1
1371. Article La Provence partie 2
1371. Article La Provence partie 3

N’hésitez pas à nous contacter pour toute question, tout problème ou toute idée d’initiative.
Ne restez pas isolé dans cette période difficile !