Des refus de reconduction de temps partiels à 80% ont été assignés à certains agents au sein de l’établissement.
Ces décisions abusives sont mises en place depuis quelques mois déjà. Or, il est regrettable de constater que le dialogue social, tant valorisé depuis septembre 2013 laisse place peu à peu à une forme d’ostracisme.
En effet, aucune négociation avec le syndicat CGT n’a eu lieu. Aucune transparence sur ce dossier, aucune méthodes de calcul sérieuses et fiables n’ont été produites, ce malgré les nombreuses demandes de la CGT.
Les mesures ainsi que leurs applications sont banalisées, c’est la politique du « C’est comme ça! » Dans un projet aussi sensible que la modification du temps de travail des agents à temps partiels qui concerne un grand nombre de salariés, leur avis a été occulté et cette mesure est arrivée comme un couperet.
De plus, la CGT représentante majoritaire des salarié(e)s a été écartée de cette décision concernant des modifications des conditions de travail des agents de l’établissement.
La contradiction qui persiste entre la politique en matière de plan de retour à l’équilibre et celle actée publiquement par la plus haute autorité de l’établissement à la presse nous laisse pantois.
D’un côté tout va bien, la direction se réjouit de « La bonne santé de l’hôpital »…, rapportée par toute la presse locale, de l’autre tout va mal et la direction argue la « mise en place du plan de retour à l’équilibre » pour justifier la suppression des temps partiels à 80 % (de non droits).
Qu’en est-il réellement? Les finances du centre hospitalier vont-elles bien ou mal?
Que cesse cette piètre valse à deux temps!
Serait-ce un fer de lance servant à diviser les agents entre eux, à faire culpabiliser les salarié(e)s et petit à petit instaurer un régime de la crainte ? La raison du plus fort serait donc toujours la meilleure ?
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