15 janvier 2013 – Les travailleurs sont-ils manipulés ?

On ne cesse de prendre de l’argent dans les poches des salariés, on les empêche de consommer, de subvenir à leurs besoins, et leur travail n’est pas rémunéré à leur juste valeur. La part des salaires dans ce qui est produit aujourd’hui est plus faible que dans les années 1950. La part des salaires dans la valeur ajoutée baisse d’année en année, et inversement la part des profits ne cesse d’augmenter.

Quand un patron nous dit qu’on lui coûte trop cher, c’est faux ! Il suffit de regarder les chiffres pour voir que c’est l’inverse qui se produit.

Le système le plus abouti du capitalisme moderne, ce sont les fonds de pensions. Alors qu’ils devraient être uniquement pour les salariés, ce sont les actionnaires qui en profitent. Il y a beaucoup d’argent dans les retraites, du coup cela attire de nombreux rapaces. Dans la santé, ils se rendent compte qu’il y a également de l’argent, alors ils commencent à s’y intéresser de plus en plus. C’est ainsi, qu’ils sont en train d’attaquer et d’essayer de casser notre service public hospitalier.

Il n’y a jamais eu autant d’argent et pourtant, on presse de plus en plus les salariés, on leur demande de faire toujours plus d’efforts, et cela fait plus de 40 ans que certains milieux nous racontent que c’est la crise.

La crise a bon dos. On musèle les citoyens, on les montre du doigt et on les empêche de réfléchir. Comment ? En plaçant une quinzaine d’éditorialistes dans les principaux médias, au service de grands Lobbys. Ils nous expliquent à longueur de journée ce que nous devons penser. C’est un endoctrinement qui nous explique qu’il n’y a qu’un seul chemin (sur fonds d’idées d’économie libérale dissimulées).

A ce sujet, nous vous conseillons de regarder le film « Les nouveaux chiens de garde », sorti début 2012.

L’auteur explique sa vision sur l’organisation de ce système : « Les nouveaux chiens de garde, fidèles à leur niche, justifient l’austérité pour le peuple et défendent les privilèges pour les riches ». Le film est tiré de l’ouvrage du même nom de Serge Halimi, paru en 1997 et actualisé en 2005, préfacé par Pierre Bourdieu.

Dans ce film, passionnant et amusant, l’auteur dénonce : « la mainmise des médias dominants qui donnent l’illusion d’une liberté de l’information qui n’est ni libre ni informative. Son travail est de faire avaler au peuple la mondialisation, l’Europe et tout le démantèlement de l’Etat social. Il s’agit d’une manipulation totale du peuple. Les médias se proclament « contre-pouvoir », alors que la grande majorité des journaux, des radios et des chaînes de télévision appartiennent à des groupes industriels ou financiers intimement liés au pouvoir. Au sein d’un périmètre idéologique minuscule se multiplient les informations prémâchées, les intervenants permanents, les notoriétés indues, les affrontements factices et les renvois d’ascenseur ».

11 janvier 2013 – Les personnes handicapées, le FIPHFP et l’ANFH

Tout employeur occupant au moins 20 salariés depuis plus de 3 ans est tenu d’employer des travailleurs handicapés dans une proportion de 6 % de l’effectif total de l’entreprise. Les établissements ne remplissant pas ou que partiellement cette obligation doivent s’acquitter d’une contribution au FIPHFP, le fonds pour l’insertion professionnelle des personnes handicapées dans la fonction publique.

Montant au premier juillet 2012 (par personne manquante) :
De 20 à 199 salariés = 3 760 euros
De 200 à 749 salariés = 4 700 euros
A partir de 700 salariés = 5 640 euros

Au bout de 3 ans de non-respect de l’obligation d’emploi, l’employeur est soumis à une surcotisation de 14 100 euros par personne manquante, quelque soit l’effectif de l’entreprise.

Cela fait énormément d’argent dans les caisses du FIPHFP, d’autant plus que beaucoup d’établissements de la région préfèrent payer des pénalités plutôt que recruter des personnes handicapées.

Mais à quoi sert tout cet argent ?

Tous les établissements ont la possibilité de monter des dossiers afin de profiter de ce budget afin de réaliser des aménagements de poste ou afin de financer des formations par exemple. Mais peu d’établissements utilisent ce budget.

Ainsi, pour prendre un exemple, une ASH (agent des services hospitaliers) qui souhaitent opérer une reconversion vers un poste d’agent administratif peut retirer auprès de l’ANFH (Association nationale pour la formation permanente du personnel hospitalier) un formulaire afin de monter un dossier. L’agent devra décrire son projet, détailler ses motivations, choisir un organisme de formation et chiffrer les besoins de financement.

Un co-financement est alors possible :

Si la formation est supérieure à 18 mois = 80% par le FIPHFP et 20% par l’établissement (plan de formation).
Si la formation est inférieure à 18 mois = 50% FIPHFP et 50% établissement.

Si un établissement n’a plus de budget pour financer sa part, il arrive que l’ANFH puisse trouver des solutions. Pour cela, il ne faut pas que l’établissement refuse, comme c’est souvent le cas, sans se renseigner auprès de l’ANFH. L’ANFH ne dispose pas seulement des cotisations des établissements, elle peut avoir des fonds régionaux non utilisés ainsi que des fonds qui arrivent du FSE, des ARS, de la CNRACL etc…

Ces sommes restantes ne demandent qu’à être optimisées.

Ainsi, pour les établissements motivés, qui font des efforts en matière de formation, elle peut trouver des arrangements pour débloquer certains dossiers.

De plus, sur les questions de reclassement, par exemple, le CHSCT (comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) doit avoir son mot à dire, il doit être acteur de ces projets là.

7 janvier 2013 – Cadres de santé et cadres supérieurs de santé : le changement c’est maintenant !

Après l’intégration des infirmières dans la catégorie A, c’est au tour du corps des cadres de santé de connaître des modifications à travers plusieurs textes publiés au journal officiel du 28 décembre 2012.
Les personnels relevant du corps actuel des cadres de santé sont intégrés au 29 décembre 2012 dans le nouveau corps des cadres de santé paramédicaux, à l’exception de ceux qui choisiront le maintien dans le corps actuel, au titre du droit d’option (ouvert pour une durée de 6 mois).

Ci-joint les nouveaux textes :

Décret n° 2012-1465 du 26 décembre 2012 modifiant le décret n° 2001-1375 du 31 décembre 2001 portant statut particulier du corps des cadres de santé de la fonction publique hospitalière
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000026843711&dateTexte=&categorieLien=id

Décret n° 2012-1466 du 26 décembre 2012 portant statut particulier du corps des cadres de santé paramédicaux de la fonction publique hospitalière
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000026843750&dateTexte=&categorieLien=id

Décret n° 2012-1467 du 26 décembre 2012 relatif au classement indiciaire du corps des cadres de santé paramédicaux de la fonction publique hospitalière
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000026843826&dateTexte=&categorieLien=id

Arrêté du 26 décembre 2012 relatif à l’échelonnement indiciaire du corps des cadres de santé paramédicaux de la fonction publique hospitalière,
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=?cidTexte=JORFTEXT000026844012&dateTexte=&oldAction=rechJO&categorieLien=id

4 janvier 2013 – Bonjour, je voudrais connaître le contenu du dossier administratif de chaque agent ???

Aux termes de l’article 18 de la loi n°83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires :

Le dossier du fonctionnaire doit comporter toutes les pièces intéressant la situation administrative de l’intéressé, enregistrées, numérotées et classées sans discontinuité.
Il ne peut être fait état dans le dossier d’un fonctionnaire, de même que dans tout document administratif, des opinions ou des activités politiques, syndicales, religieuses ou philosophiques de l’intéressé.

Ainsi, le dossier administratif ne doit comprendre que des pièces à usage administratif ou d’origine administrative. Par exemple :
* Les diplômes, les documents liés à l’état civil du fonctionnaire, les extraits de liste d’aptitude à la suite de la réussite à un concours, les arrêtés de nomination, de titularisation et de reclassement, les décisions d’affectation, la notation et les appréciations afférentes, les arrêtés de promotion et de position (mise en disponibilité, détachement…), les documents relatifs à la formation professionnelle et stage…

Il ne rend compte que de la manière de servir de l’agent dans les différents postes où il a exercé ses fonctions.

Ainsi, doivent être retirés tous documents relatifs aux opinions et activités politiques, syndicales religieuses ou philosophiques mais également tout document relatif à la vie privée de l’agent.

Quant au principe d’intangibilité du dossier administratif, il implique que l’administration ne peut pas, à loisir et à l’insu de l’agent, retirer ou ajouter des pièces dans son dossier. En revanche, ce principe n’interdit de retirer à la demande de l’agent des documents qui ne peuvent légalement être inclus.

29 décembre 2012 – Bilan social rénové : modalités d’adoption et contenu, arrêté du 5 décembre 2012

Publication au journal officiel du 15 décembre 2012 de l’arrêté du 5 décembre 2012 fixant les modalités d’adoption et le contenu du bilan social des établissements publics énumérés à l’article 2 de la loi n° 86-33 du 9 janvier 1986 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique hospitalière.

Faisant suite à la publication du décret n° 2012-1292 du 22 novembre 2012, cet arrêté détermine dans son annexe, la liste et le mode de présentation des informations devant être mentionnées dans le bilan social et précise les modalités d’adoption du bilan social.

LE BILAN SOCIAL COMPREND TROIS PARTIES :

Partie 1 : Etat et analyse des données sociales de l’Etablissement (23 Indicateurs)

I – Evolution des effectifs et de la masse salariale :

Indicateur n° 1 : effectifs ETPR,
Indicateur n° 2 : masse salariale,
Indicateur n° 3 : taux d’évolution des dépenses correspondant à l’emploi des personnels intérimaires.

II – Gestion du temps et disponibilité des ressources humaines :

Indicateur n° 4 : heures supplémentaires du PNM et temps de travail additionnel du PM,
Indicateur n° 5 : jours de CET stockés,
Indicateur n° 6 : taux d’absentéisme pour motif médical et non médical,
Indicateur n° 7 : taux de turnover du personnel,
Indicateur n° 8 : taux de mobilité interne du PNM par genre,
Indicateur n° 9 : pourcentage d’agents effectuant des horaires dérogatoires (en 12 Heures).

III – Gestion des compétences :

Indicateur n° 10 : nombre de promotions professionnelles,
Indicateur n° 11 : pourcentage des PM et PNM ayant rempli leur obligation de DPC,
Indicateur n° 12 : repérage des trois métiers sensibles ou en tension PM et PNM,
Indicateur n° 13 : attractivité et fidélisation du personnel infirmier,
Indicateur n° 14 : analyse de l’adéquation des moyens humains avec l’activité.

IV – Dialogue social :

Indicateur n° 15 : nombre de réunion de concertation en dehors des réunions réglementaires et institutionnelles,
Indicateur n° 16 : nombre d’heures syndicales utilisées ou octroyées par rapport au crédit global de temps syndical,
Indicateur n° 17 : nombre d’heures (PNM) ou de demi-journées (PM)de grève au cours de l’année,
Indicateur n° 18 : droits et moyens syndicaux.

V – Santé et sécurité au travail :

Indicateur n° 19 : nombre d’accidents du travail au cours de l’année,
Indicateur n° 20 : nombre de jours d’arrêt pour maladies professionnelles et maladies reconnues imputables au service,
Indicateur n° 21 : thématique de la responsabilité sociale de l’Etablissement,
Indicateur n° 22 : existence du document unique,
Indicateur n° 23 : thématique de l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes.

Partie 2 : Gestion des ressources humaines au sein des pôles d’activité.

Seuls les établissements organisés en pôles d’activités sont concernés par cette partie.

I – tableau présentant les taux d’absentéisme et de turnover pour chaque pôle et moyenne de l’établissement,
II – Mise en valeur d’un pôle ayant connu des évolutions particulièrement marquantes, à la hausse ou à la baisse, sur un indicateur au choix de l’établissement,
III – Mise en valeur d’un pôle (au choix): présentation de l’ensemble des 19 indicateurs avec clés d’analyse explicative des résultats.

Partie 3 : Mise en perspective des données sociales au regard du projet d’établissement et intégration de la politique RH sur le territoire.

I – état d’avancement et de réalisation du projet d’établissement et prise en compte des critères de qualité portant sur la gestion des RH dans le cadre de la certification HAS des établissements de santé,
II – Etat d’intégration de la politique de gestion des RH de l’établissement à l’échelon territorial (région, territoire de santé ou CHT)
III – suivi annuel du CPOM – volet RH, sur les points autres que ceux de la partie I.

INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES :
Des informations complémentaires peuvent être indiquées dans le bilan social. Le choix de celles-ci est arrêté par le Directeur après avis du CTE et de la CME. Le choix des informations peut être révisé chaque année, après avis de ces mêmes instances.

DOCUMENTS JOINTS AU BILAN SOCIAL :
– Le bilan annuel du CHSCT,
– Le rapport annuel de la médecine du travail,
– Le rapport annuel de formation.

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NOUVEAU CALENDRIER DU BILAN SOCIAL :
– Consultation des instances avant le 15 avril de l’année N+1,
– Transmission aux membres des instances du projet de bilan social, un mois avant la date de réunion de l’instance,
– Bilan social arrêté par le Directeur, après avis des instances et concertation du Directoire, avant le 30 avril de l’année N+1.

27 décembre 2012 – Les salariés des TPE placent la CGT très largement en tête

Avec un résultat de 29,54%, la CGT arrive très largement en tête du premier scrutin de représentativité dans les très petites entreprises. Scrutin où 465 756 électeurs et électrices se sont exprimé-e-s malgré les innombrables obstacles.

La CGT remercie les salarié-e-s qui ont porté leur choix sur la CGT. Ce résultat vient après d’autres signes forts quand à la place majeure occupée par la CGT dans le paysage social. La deuxième organisation syndicale recueille quant à elle 19,26% et la troisième organisation recueille 15,25%.

Le résultat obtenu donne encore plus de poids à ceux qui n’acceptent pas une régression sociale majeure dans la négociation sur l’emploi en cours.

Dans les conventions collectives et au niveau national interprofessionnelle, ce résultat renforce la place de la CGT. Il donne du poids aux exigences portées par les salarié-e-s des TPE et renforce leur volonté d’obtenir à l’avenir de véritables lieux de négociations avec des élu-e-s pour les représenter.

Au cours de plusieurs mois de campagne, la CGT dans les territoires et avec ses organisations professionnelles a tissé de nombreux liens avec des milliers de salarié-e-s des TPE qui lui ont réservé un accueil très favorable.

La CGT entend poursuivre cet effort au-delà de l’élection et créer les conditions pour que le syndicalisme et la négociation collective prennent toute leur place auprès de ces salarié-e-s.

Forts de ce résultat, les salarié-e-s peuvent compter sur la présence de la CGT pour agir avec eux en faveur de nouvelles conquêtes sociales. Elle les appelle aussi à prendre toute leur place dans cette mobilisation en rejoignant massivement la CGT.

22 décembre 2012 – Publication du décret réformant le CET du personnel non-médical hospitalier

Le décret introduisant de nouvelles règles de gestion et d’utilisation des comptes épargne temps (CET) dans la fonction publique hospitalière, attendu depuis de nombreux mois, a été publié au Journal officiel.

Outre ce décret, a été publié également l’arrêté précisant les nouveaux seuils du nombre de jours pouvant être placés dans un CET chaque année ou le nombre global de jours pouvant être maintenus dans un tel compte.

Ci-joint dans le fichier ci-dessous :

* Une déclaration de la CGT sur le CET

* Le décret n°2012-1366 du 6 décembre 2012 modifiant certaines dispositions relatives au compte épargne-temps et aux congés annuels dans la fonction publique hospitalière

* L’arrêté du 6 décembre 2012 pris en application des articles 4 à 8 du décret n°2002-788 du 3 mai 2002 relatif au compte épargne-temps dans la fonction publique hospitalière

Pour le lire, cliquer ici

20 décembre 2012 – La CGT avance des propositions

C’est ce 21 décembre que patronat et syndicats se retrouveront pour une négociation sur les thèmes de la qualité de vie au travail et l’égalité professionnelle. L’enjeu est de taille car le « mal-travail » a de très fortes conséquences sociales mais on peut aussi affirmer qu’il a un impact négatif sur l’économie du pays et sur la performance des entreprises et des services public. Pour la CGT et son UGICT, il est temps que le travail, son contenu, sa rémunération soient débattus et négociés dans les entreprises. La CGT aborde donc ces négociations avec sérieux et elle y versera le 21 décembre une série de propositions. Elle propose, notamment que la Qualité de vie au travail soit conçue comme un état « perçu individuellement et collectivement qui englobe l’ambiance, l’ergonomie, la culture de l’entreprise, l’intérêt du travail, le degré d’implication et de responsabilisation, l’équité, un droit à l’erreur accordé à chacun, une reconnaissance et une valorisation des acquis professionnels et personnels par une formation qualifiante et une évolution de carrière. La qualité de vie au travail engage l’appartenance du salarié à un collectif comme lieu de dialogue professionnel, de formation, d’une identité et de respect des acquis collectifs. Ainsi conçue, la qualité de vie au travail désigne et regroupe les dispositions récurrentes abordant notamment les organisations du travail comme facteur de l’amélioration des conditions de travail et de vie pour les salariés et les autres objectifs et contraintes de sa gestion, l’ensemble constituant la performance collective de l’entreprise. Elle est un des éléments constitutifs d’une responsabilité sociale d’entreprise assumée. Sa définition, sa conduite et son évaluation sont des enjeux qui doivent être placés au cœur du dialogue social. »

18 décembre 2012 – Lutte contre les discriminations : nous avons besoin de vous !!!

La CGT condamne toutes les formes de discrimination sur le lieu de travail. A cette occasion seront organisées le 7 février 2013 à Montreuil, les Assises sur « Le monde de la Santé et de l’Action Sociale contre les discriminations ».

C’est ainsi que nous faisons appel à votre bonne volonté afin de remplir le questionnaire ci-joint au format Word et nous le remettre au local CGT pour les agents de l’établissements ou bien nous le renvoyer par mail pour ceux qui préfèrent et pour les personnes qui ne sont pas de notre établissement (adresse mail : contact@cgt-hopital-manosque.fr ).
La lutte contre les discriminations est au cœur de nos préoccupations.

Définition :
Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques en raison de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur apparence physique, de leur patronyme, de leur état de santé, de leur handicap, de leurs mœurs, de leur orientation sexuelle, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur appartenance ou leur non appartenance, vraie ou supposée , à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée…

Vous pouvez également nous envoyer vos témoignages par mail ou en allant dans la rubrique « Contact » sur ce blog.

Nous vous remercions par avance de votre implication qui nous permettra de mieux travailler sur ce dossier important.

Pour lire et télécharger le questionnaire cliquer ici